Lors d’une conférence de presse le 9 septembre 2025, l’ancien ministre Gaston Zossou a justifié la candidature de Romuald Wadagni comme un choix tourné vers l’avenir. Selon lui, réduire ce choix à une « rupture » ou à une « continuité » serait une erreur d’analyse.
« La rupture, c’est replonger dans les travers du passé faits de divisions et de mauvaise gouvernance. La continuité, c’est donner l’illusion que tout est déjà accompli », a-t-il affirmé.
À la place, Gaston Zossou met en avant trois mots-clés pour définir Wadagni : accélération, pour faire avancer plus vite les réformes déjà engagées ; renforcement, pour consolider les chantiers encore inachevés ; et adaptation, pour affronter un monde en constante mutation.
Ce positionnement dessine le portrait d’un candidat qui refuse les extrêmes : ni retour en arrière, ni immobilisme. Romuald Wadagni apparaît ainsi comme le choix d’un futur pragmatique, à la fois stable et ouvert à l’innovation.
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