Hommage musical aux soldats béninois : Ignace Don Metok dévoile « C’est eux », un chant de bravoure pour les forces armées

À l’approche de la fête nationale du 1er août, symbole de l’indépendance du Bénin, l’artiste-chanteur Ignace Don Metok signe un hommage poignant et engagé à l’endroit des forces armées béninoises. Dans son tout nouveau single intitulé « C’est eux », le chanteur célèbre le courage et le sacrifice des soldats qui veillent, souvent au prix de leur vie, sur la paix et la sécurité du pays.

Alors que plusieurs régions de l’Afrique de l’Ouest font face à des menaces croissantes liées au terrorisme, et que le Bénin lui-même a été récemment confronté à des incursions djihadistes dans le Nord, Ignace Don Metok choisit l’art pour adresser un message fort à ceux qui protègent la nation.

« C’est eux qui veillent, c’est eux qui tombent, c’est eux qu’on oublie trop souvent », chante-t-il dans un refrain émouvant, porté par des percussions graves et une mélodie sobre, presque militaire.

La chanson se veut un hymne de reconnaissance, un appel à la mémoire collective et un soutien moral aux troupes sur le front.

Le morceau est disponible en exclusivité sur la plateforme Tout.live, en amont des festivités du 1er août. Un lancement stratégique qui accompagne la montée en ferveur patriotique à l’occasion du 65e anniversaire de l’indépendance du Bénin.

Ignace Don Metok, connu pour ses chansons à texte et son engagement citoyen, signe ici l’un de ses titres les plus sobres et profonds. Il rejoint ainsi la courte liste des artistes béninois qui osent parler de la guerre, du sacrifice et de la patrie.

À l’heure où la menace sécuritaire oblige les autorités à renforcer les effectifs et à investir dans l’équipement militaire, cette chanson agit comme un écho artistique au devoir républicain. Elle interpelle, rassemble et invite à la solidarité nationale.

« C’est eux » n’est pas seulement une chanson. C’est un message de respect, de mémoire et de gratitude, dans un pays où le rôle des soldats est parfois ignoré par la population civile. Grâce à Ignace Don Metok, la musique devient une arme douce au service de la cohésion nationale.