À l’approche des élections présidentielles béninoises de 2026, un contraste saisissant s’impose entre action et agitation. D’un côté, Romuald Wadagni, ministre de l’Économie et des Finances et candidat désigné, incarne le renouveau africain, la compétence et l’espoir pour la jeunesse. De l’autre, Franklin Nyamsi, professeur agrégé de philosophie, citoyen français d’adoption, se révèle davantage comme un commentateur bruyant que comme un acteur politique crédible.
Hurler sur Wadagni, mais se taire sur Biya
Nyamsi n’hésite pas à critiquer le ministre béninois, affirmant qu’il ne pourrait pas diriger le Bénin. Ironie du sort : ce même Nyamsi reste parfaitement silencieux face au président camerounais Paul Biya, 92 ans, qui veut briguer un nouveau mandat dans son propre pays. Selon nos enquêtes, le professeur percevrait même 2 millions de FCFA par mois du gouvernement camerounais, une situation qui laisse planer un doute sérieux sur l’indépendance de ses jugements.
Le verbe creux contre l’action concrète
Pendant que Nyamsi multiplie les diatribes et les attaques personnelles sur les réseaux sociaux, Wadagni agit et bâtit. Dix ans d’expérience à la tête de l’économie béninoise, des réformes structurantes et une vision claire pour l’avenir : voilà le contraste. Le professeur, lui, n’a jamais dirigé un village et semble confondre l’érudition académique avec la légitimité politique.
Vendeur d’illusions et spécialiste de la diversion
Sur les réseaux, Nyamsi divague, multiplie les jugements péremptoires et se pose en juge moral. Mais derrière le verbe brillant, il n’y a ni projet, ni action, ni responsabilité. Wadagni, au contraire, incarne le sérieux, le pragmatisme et l’engagement. Le contraste est simple : l’un agite, l’autre construit.
La jeunesse africaine observe
Pour la jeunesse africaine en quête de modèles et de leaders crédibles, la leçon est limpide. L’action, la compétence et le courage politique surpassent toujours le verbe vide et la posture médiatique. Franklin Nyamsi restera dans les mémoires comme celui qui critique tout… sauf là où il aurait dû regarder dans le miroir. Wadagni, lui, continue de faire ce que le Bénin attend : gouverner et bâtir l’avenir.
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