Le chef des députés Renaissance, Gabriel Attal, a tenu à clarifier la position de son camp mardi 7 octobre. Devant les parlementaires de la majorité, il a déclaré ne « pas souhaiter la démission du président de la République », marquant ainsi sa différence avec Édouard Philippe, qui avait évoqué cette possibilité.
« Nous ne mêlerons jamais nos voix à ceux qui appellent à une démission du président et à une présidentielle anticipée », a insisté l’ancien Premier ministre. Selon lui, pousser un chef de l’État démocratiquement élu à quitter son poste avant la fin de son mandat « fragiliserait tout notre équilibre démocratique ».
Cette prise de position intervient alors que les tensions politiques s’intensifient au sein de la majorité présidentielle.
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